Cour des Miracles, rue principale jouxtant la place du marché

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

La jeune femme arriva à destination… Enfin elle le pensait. Il faut dire qu’elle ne connaissait pas vraiment ces lieux.
Catalina venait d’Espagne et depuis son arrivée dans le Royaume de France, elle avait découvert moult endroits aussi différents les uns que les autres.
Certains d’un ennui incroyable, d’autres qui lui avait procuré des sensations qu’elle n’était pas prête d’oublier. Comme les bas-fond du Limousin…
Mais bien sur cela n’était pas suffisant.
La jeune espagnol avait eut une vie des plus mouvementée.. Mais comme à chaque fois qu’une de ses aventures prenaient fin, l’ennui la gagnait et elle allait à la recherche de sa dose d’adrénaline, prenant des risques.

Elle avança dans la rue, sa robe à la mode espagnole toujours relevé d’un côté, ses cheveux noirs flottant librement autour de son visage au diaphane parfait, ses yeux arrogants, ses lèvres pleines, sensuelles et insolentes…
Sa main effleurait la garde de son épée à sa ceinture prête à s’en servir s’il le fallait. Bien que d’autres choses la tentaient plus qu’un duel à l’épée. Cela faisait longtemps qu’on ne lui avait pas jeté de gants au visage. Depuis qu’elle avait quitté son pays.

Elle finit par s’arrêter presque au milieu de la rue, ne sachant plus où aller… Il faut dire qu’elle n’avait pas ses repères ici. Et puis elle avançait à visage découvert…
Elle espérait qu’aucun ennemi des Canabixas se trouvaient en ces lieux… Ou plutôt elle aurait bien aimé…
Voir couler le sang de ses ennemis lui avait toujours provoquait des sensations encore plus jouissives que celles qu’elle trouvait dans les bras d’un homme…

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Voilà qui était bien étrange... Elle restait interloquée... Quelque chose devait se tramer pour que cet endroit soit si desert. Personne dans les rues à part quelques mendiants qui somnolaient, cuvant leur vin.

Catalina regardait autour d'elle. Peut être s'était elle trompée d'endroit. Ou peut être que ce qu'on entendait sur ça au travers du royaume, et même par delà les frontières n'était que fabulation.

Elle réajusta sa cape et la remonta sur sa tête, se dissumulant quelque peu le visage. Quand il y avait du monde, peut importe qui brigands, assassins, nobles, et autres, elle n'avait pas peur. Elle se sentait à l'aise avec n'importe qui. Peu importe le danger.
Mais quand le silence pesait ainsi.... C'était autre chose...
Elle fit quelques pas de plus dans la longue rue puis s'arrêta à nouveau, scrutant les environs.
Si la situation n'évoluait pas elle prendrait le chemin du retour rendre un rapport incomplet... tant pis....

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Raven_mordcoeur_ a écrit:: Il l'observait depuis un moment. Était-elle venue venger la Comtesse ? Retrouver l'or ? Non, les protégés de Margency seraient venus en force, ou ne seraient pas venus.

La proie semblait en chair et bien sapée pour une courienne. Il n'avait pas distingué d'arme, mais à coup sûr, elle en portait une. Si elle semblait choisir un itinéraire, elle n'en paraissait pour autant ni perdue ni apeurée. Elle fit demi-tour, comme ayant soudain trouvé son chemin.

Alors seulement Raven se décolla du mur sombre d'où il regardait la scène, laissant une volute de fumée bleutée flotter derrière lui. Son long manteau de cuir noir battit ses bottes tandis qu'il parcourait les quelques pas qui le séparaient du milieu de la rue. Il lui barrait ostensiblement le passage, jambes écartées, bras reposant sur le pommeau d'une épée trop belle pour être honnête. Raven Mordcoeur, maître incontesté de la Cour des Miracles. Le plus riche en tout cas. Dans la pénombre, son visage apparaissait presque avenant, les traits reposés. Il la toisa un instant. De longues secondes silencieuses et noires, comme l'eau qui ruisselait des toits. Il nota sa peau claire, et finalement, l'éclat d'une lame cachée sous la cape.

L'heure n'était pas au recrutement, non, pas du si beau linge à la Petite Truanderie. Au mieux une lourde rançon à obtenir. Ou une bourse à tirer. Au pire, un peu d'amusement pour la soirée au refuge. Groslard n'oserait pas partager avec le maître. Mais Gueule-Cassée, peut-être.

L'heure est tardive pour la flânerie.

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Le regard de la jeune femme continuait de scruter les environs. A la recherche de quelqu'un? De quelque chose? Qui sait, peut être des deux, ou encore rien de cela...
Elle avait attendu un long moment dans cet endroit, sans que personne ne se manifeste. La déception commençait à pointer le bout de son nez chez l'espagnole, ce qui l'agaçait au plus au point, car cela n'était pas un sentiment qu'elle avait l'habitude de côtoyer, tout comme l'ennui. Et celui ci risquait de suivre de près...

Pourtant non, car alors qu'elle allait repartir, un homme venu de nulle part surgit devant elle. Face à la jeune femme, il resta un moment à l’observer.
Catalina fit de même, penchant la tête légèrement sur le côté. Elle le regardait dans les yeux, comme si elle cherchait à sonder son âme, ou à y trouver quelque chose qui aurait pu éveiller son intérêt….
Ses lèvres pleines s’entrouvrirent légèrement, laissant apparaître un demi sourire insolent.
Cet air là, typique chez la demoiselle, en plus de son regard parfois hautain, d’autre fois dur et froid, contrastait avec le reste. Cat, toute grâce, et toutes nuances, dans l’éclat doux de ses 21ans, possèdait la candeur des enfances.
Mais quand elle parlait, sa voix chantantes et autoritaire ne rendaient pas dupes ses adversaires, ni même sa famille.
D’une main gantée elle rabaissa la cape qu’elle avait remonté sur sa tête.
L’autre main alla caresser machinalement la garde de l’épée qu’elle avait arraché à son padre lors de leur dernière rencontre…

Puis son sourire se fit amusé, à la réflexion d’ l’inconnu… Une autre lueur qu’on ne saurait définir éclaira ses yeux, comme une flammèche qui vient caresser l’ambre piqueté de vert de ses iris…

Il n’est jamais trop tard, Messire, pour la flânerie. Lorsque le ciel se peint de noir et que la lune chante aux hommes ses histoires dantesques, le moment est alors idéal pour laisser errer son âme et ses pensées… Les idées sont alors plus clairs, l’esprit s’affine et les sens sont aiguisés…

Elle le fixa encore un instant, puis tout en inclinant légèrement le visage en signe de salue, mais sans perdre son regard, elle se présenta

Catalina-Jovana Canabixas, à qui ais-je l’honneur… ou le déshonneur… ?

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Raven_mordcoeur_ a écrit:: Indifférent, il regardait la jeune femme étirer ses yeux de chatte et ses gestes gracieux devant lui : certainement quelque fourberie pour endormir ses instincts. Seulement lui, on ne la lui faisait pas. Il en avait une bien plus cruelle à la maison. Et voici que celle-ci devisait et se perdait en considérations d'un autre milieu, rebondissant de phrases en phrases que tout autre malandrin de la Cour aurait parachevées dans un gargouillis carmin, la laissant se vider de son sang pour quelques pièces en or.

Mais, par nature, le Raven est un animal patient et empli de sagesse.

Une nouvelle volute bleutée se répandit dans l'air frais, au-dessus de Raven, enveloppant les songes et les démons qui l'accompagnaient. Après un silence déroutant, il finit par s'exprimer d'une voix pleine et presque chaude, teintée cependant d'une légère ironie.

Si l'heure est idéale, nous doutons fort que l'endroit le soit.

Il fit mine de regarder les ombres derrière elle, où se tapissaient certainement les siens, puis les murs gris qui les encadraient, et revint à la petite silhouette, l'unique tâche de couleur dans ce monde trop gris.

Les frontières de notre Cour sont loin. Il serait plus sage de vous faire accompagner pour ne pas gâcher si joli petit cul. Vous avez eu l'extrême chance de tomber sur notre vénérable Guilde. Donner-nous adresse où joindre votre famille. Nous saurons nous faire payer honorablement pour l'hébergement et la livraison.

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Le sourire amusé de Catalina se transforma alors en une moue légèrement boudeuse. Pour qui la prenait il celui là... Elle avait toujours fait ce que bon lui semblait, bien que bon fut un terme assez contradictoire avec ce qu'elle faisait dans ces moments là.

Elle le toisa un instant, haussant un sourcil.

Je ne vois pas en quoi cet endroit ne serait pas idéal Messire... Je vais où bon me semble et n'est point venu l'homme qui me dictera mes pas.

Elle s'avança d'un pas et le regarda encore. L'espagnole avait la facheuse tendance à oublier la peur et à ignorer le danger. Ou alors peut être était cela qui la faisait vivre.

Quand à ma famille... Je ne vous donnerai aucun renseignement les concernant. Cela ne vous regarde pas, du moins pas encore, sauf peut etre si vous êtes sur notre liste, alors là vous viendriez orner notre collection de têtes!

Parler de sa famille, oser en parler, surtout sur un ton qu'elle n'appréciait pas... Elle avait réussi il y a peu à retrouver ses soeurs, Rose, Vivelame, Bonny.. Puis sa cousine et enfin, celui qu'elle cherchait depuis un long moment, son frêre, Alessandro... Jamais ceux ci ne tolèreraient qu'on touche à un cheveu de Catalina, du moins sans son accord...
La famille, c'était sacrée chez l'espagnole. Et celui qui mettrait un pieds dedans, soit il le perdrait, soit c'était pour ne plus en sortir...

Elle continuait à le fixer, le regard noir. Sa main était proche de la garde de son épée, car elle sentait qu'il y avait d'autres présences autour d'eux...

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Raven_mordcoeur_ a écrit:: Les ombres se mouvaient, flottantes, caressantes, ensorcelantes. Enrubannées de la soie des ténèbres, parées du subtil reflet des étoiles, obéissantes à leur maître, elles se resserraient peu à peu sur eux. Les nuits de la Cour sont plus peuplées encore que les fastueuses soirées du palais royal. Mais on ne le sait pas. La vie grouille, silencieuse, insidieuse, malodorante. Plus fertile que les terres grasses des campagnes lointaines. Mais on ne le voit pas.
Pourtant elles sont là, ces ombres, prêtes à vous détailler, prendre l'assaut de vos esprits enfiévrés et capturer vos âmes.

Raven tapota le fourneau contre la semelle de sa botte, et le chaud parfum d'herbes s'évanouit, rendant à la ruelle ses odeurs putrides.
Pipe rangée, main reposée sur le pommeau, il la détaillait. Rêvait-il ou l'avait-elle menacé ?! Ses prunelles s'assombrirent, et en un instant, il était contre elle, la dominant de sa grande taille, l'inspectant sous toutes les coutures, la humant ostensiblement.

De plus près, il laissait deviner un corset de cuir noir d'excellente facture, sous la cape finement brodée de rouge sombre. De récentes acquisitions, que l'or de Margency avait payées, au milieu d'autres richesses extravagantes et d'armes de valeur qui avaient encombré le repaire. Ses longs cheveux blancs adoucissaient ses traits durs et froids de son visage allongé et creux, plus vieux que ne l'aurait laisser penser, au premier abord, sa silhouette élancée.

Vous désirez aller où bon vous semble ... qu'avez-vous à offrir pour le droit de passage ? Or ? Renseignement ? Virginité ?

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Rien ne l'aurait fait bouger. Jamais elle ne tremblerait, jamais elle ne crierait comme une pucelle. Catalina n'était pas de ce genre là.
La peur lui donnait plutôt envit d'aller droit dessus que de fuir comme une lâche.
Il s'était approché d'elle, près. Bien trop près. Elle devait se maîtriser. Elle serra les poings, puis leva la tête afin de le regarder.
Son regard était noir, mais la jeune espagnole lui rendait avec les intérêts.
Elle s'aperçut que son visage était particulier. Ce n'était pas un visage qu'on oubliait une fois le dos tourné. Assez agréable à regarder, mais qui devait cacher mille facettes...
Elle haussa un sourcil quand il lui demanda ce qu'elle avait à offrir pour passer. Elle répondit sans le quitter des yeux.

De l'or? Cela risque d'être compromit, j'ai tout donner à des mendiants en arrivant ici.... Des renseignements... Peut etre... Après cela dépendra... Quand à ma virginité, je crains l'avoir égaré il y a longtemps...
Et puis qui vous dit que j'accepterai de vous donner quoi que ce soit?

Elle esquissa un sourire, la main toujours à quelques centimètres de la garde de son épée

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Raven_mordcoeur_ a écrit:: Qui a dit que nous parlions de la vôtre ? Celle d'une jeune sœur ferait bonne affaire : nous savons les endroits où cela se monnaie.

Mais soit, au pire, offrirez-vous de bons moments à nos hommes ... car nul ne sort de la Cour sans avoir payé son dû.

A moins que ... vous n'ayez quelque révélation à nous faire, ou quelque plan trouble à proposer, malgré vos autours.

Raven avait parlé sans hâte, tournant autour d'elle sans la lâcher des yeux, plein d'égard et de bienveillance, déçu de ne sentir en elle qu'une vague crainte mêlée d'arrogance. Cependant, elle n'avait pas encore défouraillé : il ne serait donc pas obligé de l'occire à même la rue. A bien la regarder, elle n'était point vilaine, disait être généreuse malgré sa lame : elle savait donc mentir avec aplomb, peut-être pourrait-elle servir d'entremetteuse entre leurs deux mondes. Mais que venait-elle donc faire là ... Elle avait parlé d'une liste et la Guilde avait peu d'amis. Il inspira, légèrement énervé : c'était leur dernière carte à tous les deux, et si faire couler le sang ne le répugnait pas, il n'y recourait habituellement qu'en extrême limite.

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Catalina le suivait tandis qu’il tournait autour d’elle, tel un loup prêt à se jeter sur sa proie, cherchant à l’intimider avant de la tuer, peut être. Elle, faisait du sur place, tournant en rond sur elle-même. Ne tourne jamais le dos à l’ennemi, lui avait apprit son frère. Plus d’une fois, lorsqu’elle faisait l’erreur de lui tourner le dos, il lui montrait de façon peu fraternel ce qui pouvait lui arriver.

Elle ne quittait donc pas son regard, gardant un léger sourire aux lèvres.
Offrir de bons moments à leurs hommes… Certainement pas. Catalina aimait les plaisirs charnel, les jeux de l’amour et de la séduction. Elle s’en était jamais cachée, manipulant nombreux hommes de toutes classes sociales, parfois même devant leurs femmes scandalisées et en larmes. Mais elle ne recevait pas d’ordre.
Puis la questions des renseignements, ou de plans trouble à proposer… Là cela commençait à devenir intéressants… Elle avait tiqué sur le « malgré vos atours »…
Ah s’il savait ce que ses atours lui étaient utiles… Dernièrement encore elle avait réussi à obtenir quelque chose de quasi impossible à avoir aussi facilement. Grâce justement à ses atours, à sa manière de jouer avec les mots. A son apparence noble aussi, bien qu’elle ne l’était pas que par l’apparence, cela faisait un moment qu’elle avait été à l’encontre du « vivre noblement ».
Il était certain qu’elle n’était pas effrayante au premier abord. Mais elle avait plus d’un tour dans sa botte. Elle pouvait être digne d’une grande diplomate, où plus cruelle qu’un rapace qui déchiquette sa proie dans le seul but de la voir se tordre de douleur.

Elle fit un pas pour se remettre face à lui afin de le couper dans son cercle de dominant.

Des révélations, je ne pense pas. Je ne vous connais pas, ni vous, ni vos hommes. Peut être que j’ai en ma possession des informations qui vous intéresserez mais sans connaître, je ne peux dire.
Quand à vous proposer quelques plans troubles… Possible. Mais tout comme vous, vous doutez de moi car vous ne savez qui je suis, ce que je fais là, et pourquoi je n’ai pas peur d’être ici, et bien vous comprendrez que je doute de vous également.

J’ai beau être armée Messire, et savoir me défendre peut être mieux que la moitié de vos hommes réunis, je ne suis pas stupide et je sais que si vous décidez de me tuer, je finirai par perdre. Croyez vous que je sois suicidaire?
Et puis les murs ont des oreilles Messire. Je pourrais vous proposer quelques services, ou vous parler de certains de mes projets… Mais la confiance se paye. Comme tout.

Elle esquissa un sourire et continua de l’observer, avec calme.

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Raven_mordcoeur_ a écrit:: Raven l'écoutait en caressant lentement le pommeau de son épée de ses doigts longs et fins. Il reprit plus bas, comme dans un murmure, en se penchant sur la nuque de la promeneuse :

Les murs ont des oreilles, en effet. Et les vôtres sont fort gracieuses. Il serait dommage qu'on vous les coupât, au creux de l'une de ces ruelles mal famées.

Il fit mine de réfléchir encore un peu, humant l'air de la nuit, devinant les éclats invisibles dans l'ombre des porches et des soupentes. Un homme déboucha de la place du marché et les dépassa d'un pas pressé, évitant de regarder ce couple insolite. Raven attendit de le voir disparaître à un coin de rue, avant de reprendre, d'une voix normale :

Fort bien, soit, Raven Mordcoeur, Seigneur de la Cour, vous invite en son antre en signe de confiance.

L'invitation inspirait tout sauf la confiance, mais si elle avait vraiment une proposition, et si vraiment elle ne connaissait la peur, elle viendrait. Tous deux avaient à y perdre, lui le secret de son refuge ; elle, ... la vie.

Très équilibré.

Il sourit chaleureusement.

Admin Messages : 71 Date d'inscription : 18/08/2009

Catalina réprima un frisson quand il lui murmura des paroles au creux de sa nuque... Elle ferma les yeux un instant, afin de se concentrer. Son intuition la trompait rarement...

Elle rouvrit les yeux et l'observa à nouveau. L'invitation était tentante... Mais risquée... En même temps c'était sa vie aussi... le risque...
Et puis de quoi avoir peur? Elle avait connut pire. Bon certes, personne ne saurait où la trouver.
Et puis ce nom ne faisait pas partie de la liste. Il n'était donc pas un ennemi aux Canabixas. Enfin pas encore, qui sait ce qui pouvait arriver...

Elle le regarda dans les yeux, et son sourire s'élargit, tandis que son regard changeait.

Très bien, j'accepte de vous suivre.

Elle replaça sa cape sur ses cheveux et sa main gauche recommença à frôler la garde de son épée. Elle se prépara à le suivre...

» [RP] Le Bal du Masque en ruines ( cour des miracles fofo off)
» Cour des Miracles, Quartier de la Petite Truanderie – La Guilde...